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Rennes Libertaire

10 janvier 2006

COLERE NOIRE JEUDI 02 FEVRIER 2006

CITOYEN ACTIF présente

COLERE NOIRE

JEUDI 02 FEVRIER 2006
SALLE DE LA CITÉ - 10 rue Saint Louis 35000 RENNES
Débat : 17h30 –20h00 ouvert à Tous (gratuit)
Concert : 21h00- Tarif : 15 €
SOIREE DEBAT CONCERT

DÉBAT CITOYEN :
"Comment organiser la résistance des citoyens face au pillage programmé de la planète ? »

CONCERTS :
TAGADA JONES, FREEDOM FOR KING KONG,
LA PHAZE, avec la participation de Mouss et Hakim (de Zebda)
Guizmo de Tryo + invités

Face au pillage programmé des ressources environnementales de la planète, et compte tenu de la démission des Etats, la résistance citoyenne doit s’organiser.

A l’initiative de Jo Le Guen et du groupe La Phaze, une journée « Colère noire » est organisée le 28 septembre à Rennes avec un collectif associatif, donnant le signal d’une mobilisation citoyenne de grande ampleur et d’un genre nouveau, alliant concert (Tagada Jones, Freedom for king kong ,La Phaze et autres invités) et débat citoyen.
Ephélide (Nouvelle adresse et coordonnées téléphonique)
Laurent Mechin
18 rue St Marc 75002 Paris
Tél (Ligne direct) : 01 75 00 05 11 / 06 18 31 16 80
Tél (standard) : 01 75 00 05 10
Fax : 01 75 00 05 19
laurent.mechin@ephelide.net

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1 décembre 2005

UFC QUE CHOISIR : ENTENTE ILLICITE FOURNISSEURS PORTABLES, DEFENDEZ VOUS !

www.cartelmobile.org

Estimez votre préjudice personnel !



L'UFC-Que Choisir invite chaque abonné au téléphone mobile à estimer son préjudice personnel, à lui apporter des témoignages et à soutenir son action. Objectif : tirer les conséquences de la décision du Conseil de la concurrence du 30 novembre 2005. Toutes les informations sont sur www.cartelmobile.org

Pourquoi cet appel ?

Saisi par l'UFC-Que Choisir, le Conseil de la concurrence a rendu le 30 novembre 2005 une décision par laquelle il condamne les opérateurs mobiles Orange, SFR et Bouygues Télécom pour leurs agissements illicites. Il a été reconnu que ces trois opérateurs se sont entendus pour se répartir le marché de la téléphonie mobile, ce qui a eu pour effet de fixer les prix de détail à un niveau artificiellement élevé durant la période 2000/2002. Au vu de la gravité de ces pratiques, le Conseil de la concurrence a infligé à ces entreprises des sanctions pécuniaires, pour un montant cumulé de 534 millions d'euros.

Mais l'amende prononcée par le Conseil de la concurrence n'a pas vocation à indemniser les abonnés. L'UFC-Que Choisir se mobilise afin que le préjudice de chaque abonné soit réparé par les opérateurs condamnés.

Comment agir ?

L'UFC-Que Choisir vous invite à soutenir son action et à témoigner en vous inscrivant sur le site www.cartelmobile.org . Grâce à un calculateur, vous aurez la possibilité d'évaluer la somme que votre opérateur de téléphonie mobile a indûment perçue sur la période du 1er janvier 2000 au 31 décembre 2002. Vous aurez également accès à d'autres informations.

Quelle portée pour la décision du 30 novembre 2005 ?

La décision du Conseil de la concurrence représente une étape importante dans le combat mené par l'UFC-Que Choisir depuis plusieurs années. Cette décision a pour objet de sanctionner les pratiques anticoncurrentielles des opérateurs de téléphonie mobile mais n'a pas vocation à exiger qu'ils indemnisent leurs abonnés du préjudice qu'ils ont subi. Elle a tout de même une portée majeure : le consommateur floué peut aujourd'hui tirer les conséquences de ces pratiques et réclamer une indemnisation au juge civil.

28 novembre 2005

Manif pour les sans-papiers 26/11 vu par O-F

manif_de_samedi

25 novembre 2005

NON AU REGIME D'EXCEPTION, POUR UN ETAT D'URGENCE SOCIAL !

On ne répond pas à une crise sociale par un régime d'exception. La responsabilité fondamentale de cette crise pèse, en effet, sur les gouvernements qui n'ont pas su ou voulu combattre efficacement les inégalités et les discriminations qui se cumulent dans les quartiers de relégation sociale, emprisonnant leurs habitants dans des logiques de ghettoïsation. Elle pèse aussi sur ces gouvernements qui ont mené et sans cesse aggravé des politiques sécuritaires, stigmatisant ces mêmes populations comme de nouvelles " classes dangereuses", tout particulièrement en ce qui concerne la jeunesse des " quartiers ".

Nous n'acceptons pas la reconduction de l'état d'urgence. Recourir à un texte provenant de la guerre d'Algérie à l'égard, souvent, de Français descendant d'immigré, c'est leurs dire qu'ils ne sont toujours pas français. User de la symbolique de l'état d'urgence, c'est réduire des dizaines de milliers de personnes à la catégorie d'ennemis intérieurs. Au-delà, c'est faire peser sur la France tout entière et sur chacun de ses habitants, notamment les étrangers que le gouvernement et le président désignent déjà comme des boucs émissaires, le risque d'atteintes graves aux libertés. Le marquage de zones discriminées par l'état d'urgence n'est pas conciliable avec l'objectif du rétablissement de la paix civile et du dialogue démocratique.

Nous n'acceptons pas le recours à des procédures judiciaires expéditives, voire à une " justice d'abattage ", alors qu'en même temps la même justice prend son temps pour élucider les conditions dans lesquelles sont morts Bouna et Zied à Clichy-sous-Bois.

Restaurer la situation dans les " quartiers " et rétablir le calme, c'est d'abord restituer la parole à leurs habitants. Des cahiers de doléance doivent être discutés, ville par ville. C'est, ensuite, ouvrir une négociation collective pour mettre en oeuvre des actions de rétablissement de l'égalité : cela implique l'adoption d'une véritable loi de programmation et que cessent les mesures de saupoudrage ou, pire encore, les marques de mépris, comme la stigmatisation des familles ou la transformation de l'apprentissage en mesure de relégation scolaire précoce. Une solidarité nationale authentique doit être au rendez-vous de la reconstruction du tissu social dans les banlieues.

C'est, surtout, mettre en oeuvre, dans la réalité, une réelle politique nationale de lutte contre les discriminations et pour l'égalité des droits.

Nous affirmons qu'il y a là une véritable urgence nationale : il faut substituer à l'état d'urgence policier un état d'urgence sociale.

Pour dire notre refus de ce régime d'exception

et pour exiger une autre politique, nous appelons à :

une manifestation

mercredi 30 novembre 2005

à 17h30, métro Italie.

Signataires

:

Alternative libertaire, Attac Rennes, CGT Educ’action, CNT-STE 35, Collectif du pays rennais pour une Europe sociale solidaire et démocratique, Collectif rennais contre les violences sécuritaires et policières, FSU, Les Verts, LCR, Mix-cité Rennes, Solidaires 35

17 novembre 2005

Couvre-feux, remise en cause du college unique. Revoltant !!

Face à la révolte des jeunes issus des classes populaires, le gouvernement
poursuit dans la surenchère sécuritaire et policière.
Nous savons tous que cette révolte est le fruit d’une importante
dégradation sociale orchestrée par les gouvernements successifs, et
concentrée dans les banlieues, depuis de nombreuses années : chômage
massif, accroissement inexorable de la précarité, appauvrissement d’une
part toujours plus grande de la population, conditions de logements
dégradées, violences policières à répétition couvertes par l’Etat.
Qu’offrent ces politiques successives aux jeunes ? Du mépris et un
déterminisme social que l’école seule n’a pas les moyens d’enrayer.

Comble du mépris et de l’ironie, la réponse principale faite à ces jeunes
est une loi de 1955 utilisée pendant la guerre d’Algérie. Le gouvernement
dit faire appel à cette loi pour utiliser une de ses dispositions :
l’imposition de couvre-feux qui sont une véritable atteinte aux libertés
individuelles. Plus inquiétant encore des dispositions de cette loi
permette d’accroître les pouvoirs de la police et des préfets
(perquisition la nuit, interdiction de réunions, de soirées ….)
De plus les déclarations de Villepin sur l’école , au lieu d’être
porteuses d’espoir pour ces jeunes, deviennent un prétexte pour appliquer
les aspects les plus rétrogrades de la loi Fillon, déjà unanimement
rejetée par l’ensemble de la communauté éducative. En souhaitant instaurer
l’apprentissage dés 14 ans, le gouvernement veut revenir sur l’obligation
de scolarisation de tous les jeunes jusqu’à 16 ans, ceci s’accompagnant
inévitablement de la fin du collège unique et de la casse du code du
travail qui interdit l’emploi de jeunes de moins de 16 ans. Le collège
unique, loin de bénéficier des moyens à la hauteur de ses projets, a
l’ambition de tenter d’enrayer le déterminisme social et de faire accéder
tous les jeunes à un même niveau de culture.

Le premier ministre reconnaît également que les baisses importantes
d’aides aux associations a été une erreur et souhaite la corriger. Outre
que ces promesses doivent être suivies d’effets, les choix de société
faits actuellement doivent être revus : il faut cesser de brader les
services publics dont les populations défavorisées sont les premières
bénéficiaires, de précariser davantage le travail comme c’est le cas avec
le contrat nouvelle embauche, et de radier toujours plus de chômeurs. Ce
n’est pas la « gauche actuelle », en proposant d’incantatoires « soirées
d’espoir » qui a la volonté de faire changer les choses. Dans nos écoles,
et pour les parents d’élèves, la CNT-FTE, continuera de militer pour un
changement radical de société et en attendant se battra pour plus de
justice, des emplois stables, des salaires décents, des horaires humains
pour les parents, des logements convenables, la fin d'un quadrillage
policier contre-productif, des services sociaux à la hauteur des besoins,
et une école réellement émancipatrice.

Lyon, le 8 novembre

Le secrétariat fédéral de la CNT-FTE

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12 novembre 2005

BREST : Le cinéma art et essai en danger

La municipalité de Brest vient de décider de couper dès 2006 les subventions consacrées à la projection de films Arts et essais au mythique cinéma Mac-Orlan. Pour sauver la création indépendante, signez la pétition en ligne : cinemacorlan.free.fr
9 novembre 2005

BANLIEUES : URGENCE SOCIALE 18H00 METRO BLOSNE

Appel pour l’urgence sociale
Les affrontements qui se déroulent dans différents quartiers populaires depuis
plus d’une semaine, faisant vivre aux populations et aux salariés de ces quartiers
des moments extrêmement difficiles, sont révélateurs de la crise sociale qui s’est
développée : pauvreté, chômage, précarisation sociale généralisée, mais aussi
discriminations et relégation sociale. Le démantèlement des services publics,
l’asphyxie financière et le mépris des associations de terrain, l’abandon des
politiques de prévention : tout cela est au cœur du désarroi qui s’exprime aujourd’hui.
Quel avenir pour ces populations et leurs enfants ? Ces violences sont aussi les
signes de l’échec des politiques répressives conçues comme seule réponse aux
questions sociales.
Les morts de Clichy-sous-Bois, comme d’Aulnay sont les victimes de ce
processus. Les affrontements de jeunes avec la police sont l’expression d’une rage
et d’un désespoir face à une société qui ne leur fait aucune place.
Le Ministre de l’Intérieur, en stigmatisant des populations entières, avec une
démagogie électoraliste et populiste indigne, a déclenché les violences qu’il prétend
combattre. Les véritables « rafles » organisées depuis des mois dans plusieurs villes
contre les populations immigrées à l’initiative du même Ministre de l’Intérieur
confirment sa volonté de mener une politique basée sur la chasse « au faciès ». Les
familles des deux jeunes morts électrocutés l’ont parfaitement exprimé : « Monsieur
Sarkozy est incompétent, il doit partir ».
Dans cette situation de tensions extrêmement fortes, qui aggravent contre les
conditions de vie dans les quartiers populaires, nous estimons que la réponse à cette
situation notamment passe par :
- l’établissement de la vérité sur le drame de Clichy-sous-Bois et la mort de
deux jeunes dans le transformateur ;
- la mise en œuvre d’un plan d’urgence pour permettre l’accès aux droits
fondamentaux : emplois, logement, éducation, santé, transports, culture ;
- le rétablissement et l’augmentation des crédits destinés aux associations
de terrain et aux politiques de prévention ;
- l’arrêt des politiques de criminalisation des population défavorisées, des
populations immigrées et des jeunes des quartiers populaires.
La réponse à cette crise sociale ne passe ni par la répression, ni par la
provocation, ni par l’utilisation démagogique et électoraliste de ces difficultés
sociales.
C’est bien d’une autre politique sociale et économique, en rupture avec les
orientations libérales actuelles, prenant en compte les besoins et les aspirations de
la population dont nous avons besoin.
L’accès de toutes et tous à l’emploi, au logement, à l’éducation, à la santé :
voilà les conditions d’une véritable justice sociale capable de répondre au profond
malaise social qui s’exprime actuellement.
Nous appelons à un rassemblement :
Mercredi 9 novembre à 18h00
Métro Le Blosne
Premiers signataires : ATTAC Rennes, CNL 35,CNT-STE 35, Solidaires 35, SUD ANPE 35, SUD Telecom 35, LCR Rennes, LesVerts Rennes….

7 novembre 2005

Banlieues : communiqué de la CNT-FTE

Depuis des années, la fraction la plus pauvre et la plus méprisée des classes populaires, voire défavorisées, souvent issus de l’immigration, souffre du chômage massif et de la précarité. Les emplois ouvriers qu'occupaient les parents ont été souvent supprimés, et l'école n'est pas une voie d'espoir pour les jeunes. Cette société ne leur offre que le désœuvrement au pied des immeubles et des contrôles de police stupides et humiliants. Du coup, personne ne s'étonne vraiment qu'un incident mortel déclenche des violences d'ampleur nationale.

Les enseignants de la CNT, qui pour la plupart travaillent dans ces quartiers, ne prônent pas bien sûr les incendies de voitures ni de bâtiments publics, mais pas non plus la résignation. Pour ces jeunes, ils exigent plus de justice. Concrètement, cela signifie des emplois stables, des salaires décents et des horaires humains pour les parents, des logements convenables, la fin d'un quadrillage policier contre-productif, des services sociaux à la hauteur des besoins, une école réellement émancipatrice. C'est dans ce sens que nous appelons nos collègues et les parents à lutter.

4 novembre 2005

Débat sur les atteintes au Droit du Travail

La Ligue des Droits de l'Homme organise une journée de réflexion sur les atteintes au Droit du travail

Samedi 5 novembre de 9h00 à 17h00, salle Bonnin à l'INSA (Campus de Beaulieu)

Intervenants :

Jean-Marie MICHEL, syndicaliste, licencié de ST Microelectronics

Gwenaelle HAMON, Vice-présidente de Rennes Métropole

Michel SAVY et Claude KATZ , Ligue des Droits de l'Homme

Entrée libre

3 novembre 2005

Meeting Fédération Anarchiste 8 novembre 2005

Le groupe la sociale de la Fédération Anarchiste de Rennes organise un grand meeting anarchiste

où les questions sociales et écologiques seront abordés sous l'angle libertaire.

Le meeting s'accompagnera d'une exposition photo retraçant la lutte des salariés de ST Microelectronics contre la fermeture de leur usine.

le Mardi 8 Novembre à 20h30 à la Maison de Quartier de Villejean, 2 rue de Bourgogne, à Rennes

Groupe la Sociale de la Fédération Anarchiste
c/o Local "la commune"
9 rue malakoff
35000 Rennes

Tel/Rep: 02 99 67 92 87
www.farennes.org

Permanences au local "la commune"
les Mercredis et Samedis de 15h à 19h
Vente du Monde Libertaire dans le haut de la Place des Lices
les Samedis de 11h à 13h

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